Lors des déportations des juifs, on avait peur, on ne voulait pas savoir. A la libération des camps de concentration, on a ouvert les yeux sur ce qui avait été.
Aujourd'hui, les Français n'ont pas peur, car on les empêche de savoir.
Français, tu vis dans cette patrie des droits de l'Homme, accepteras-tu longtemps que les barbares assassinent, égorgent, scalpent, des personnes qui te ressemblent ?
Il y a eu le génocide du Rwanda, il y a aujourd'hui celui d'Irak et de Syrie.
Les photos de ce site polonais ont été vérifiées pendant une semaine avant publication.
Une guerre contre des barbares ne peut se gagner qu'avec des troupes sur le terrain : le peuple français doit accepter de perdre des soldats prêts à donner leur vie. Défendre des populations sans défense est notre devoir, et même notre raison d'être. Le 24 septembre, le Premier Ministre a fait une déclaration. J'appelle le président de la République, chef des armées, à fixer rapidement l'objectif politique d'engagement de nos forces au sol, les morts là-bas s'amoncellent et leur sang tombe sur nos mains !
Faut-il ajouter de la violence à la violence ?
RépondreSupprimerNe faut-il pas chercher plutôt des moyens coercitifs efficaces et non-violents ?
Pouvons-nous ajouter du temps à celui déjà perdu ? Qui va s'interposer "aujourd'hui" entre ceux qui égorgent et ceux qui sont égorgés ? Bien sûr, les moyens non-violents sont toujours préférables, car la guerre sera toujours un mal ; elle devra s'arrêter dès que l'objectif défini sera atteint, d'où la nécessité de le définir clairement aujourd'hui. N'oublions pas : pour chaque heure qui passe, combien de vies arrêtées par cette violence ?! Nos militaires ont (normalement) appris à contrôler la violence, la leur et celle qu'ils rencontrent en face d'eux
SupprimerAmi,
SupprimerLes belles pensées sont une chose et il en faut car elle sont et deviendrons toujours plus nécessaires. Mais les actes justes et courageux le sont encore plus! Imagine là maintenant que ce soit toi et ta famille toute entière qui soit à la place de ces personnes allongées face contre le sol à la merci totale de la folie ou du malsain plaisir de ces ultra-violents qui ne sont pas des soldats même pas des mercenaires mais des tueurs! Crois-tu que tu demanderais que l'on est des belles pensées pour toi ou les tiens ou bien que l'on tente tout de ce qui est possible pour vous libérer !? La réponse est absolument limpide et évidente, non? Dernier point ami: as-tu déjà essayé de discuter avec une mitraillette braquée contre toi et les tiens? On n'arrête pas des ultra-violents avec des mots mais avec des actes!